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luxe de France

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mardi 15 août 2017

Journal du Luxe

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10 commentaires:

  1. Journal du luxe.
    Fashion, les arts et de la mode.

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  2. Deloitte a publié mardi 13 mai la première édition de l'étude mondiale Global Powers of Luxury Goods, qui établit un classement des acteurs du luxe en fonction de leur chiffre d'affaires sur l'exercice fiscal 2012. Dans ce classement qui liste 75 entreprises, la France en possède 11. Bénédicte Sabadie-Faure, associée en charge du secteur luxe chez Deloitte, analyse les principaux résultats de l'étude.

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  3. Quels sont les principaux enjeux à venir pour le secteur du luxe?

    Ce sera tout d'abord le vrai développement de services différenciant. Les consommateurs sont très en attente de choses innovantes. De plus en plus, les groupes de luxe ouvrent des magasins qui sont surtout des "flagships", qui permettent de vivre une expérience.

    Ensuite, ce sera de gérer tout le volet internet qui n'en est quand même qu'au début, car les attentes des consommateurs sont très fortes.

    Enfin, il y aura un sujet d'accès aux ressources. Les groupes font beaucoup d'intégration en amont, pour sécuriser les savoir-faire, mais aussi pour sécuriser l'accès aux matières premières. Par exemple il y a une raréfaction des peaux. Il y a aussi un sujet d'intégration en aval. Pour apparaître comme des marques haut de gamme, il faut qu'elles arrivent à garder une image de marque sur l'ensemble de la chaîne, jusqu'au moment de l'achat. Dans la mode, les groupes sont très installés dans cette stratégie et ils possèdent généralement des magasins en propre, mais c'est moins le cas pour les autres branches du luxe. C'est en train de se mettre en place dans la joaillerie. Par exemple Swatch a acheté des magasins en propre.

    Cette intégration croissante entraîne-t-elle une augmentation du nombre de fusions-acquisitions dans le secteur du luxe, au même titre que ce que l'on observe dans d'autres secteurs comme l'industrie ou les télécoms?

    Très clairement, oui. Tous les groupes de luxe se sont lancés dans le rachat de marques locales bien implantées. En parallèle, de nombreux fonds d'investissement, notamment du Qatar, s'intéressent au secteur. Et on s'attend à ce que cette tendance continue.

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  4. Alliant tradition, savoir-faire et glamour, le luxe français affiche une santé insolente et s'impose à l'export. Enquête sur les stratégies des marques stars et des nouvelles pépites pour percer sur le créneau convoité du haut de gamme.

    On peut se fier au flair de la cheikha Mozah, l'une des trois épouses du richissime émir du Qatar, à la tête du Qatar Luxury Group. Ce n'est pas à Milan, à New York ou à Shanghai que le dernier-né des groupes de luxe a décidé d'ouvrir la première boutique étrangère de sa nouvelle marque, Qela, mais bien à Paris. Et pas n'importe où. Dans le saint des saints du luxe parisien, une adresse en or massif : l'avenue Montaigne.

    Les Qatariens viennent en effet d'y acquérir un écrin de 500 mètres carrés pour y peaufiner la conquête internationale de la jeune griffe. Il faut dire que le Qatar Luxury Group connaît bien la France. L'an passé, cette émanation de la Qatar Foundation s'offrait la marque Le Tanneur, première pierre de sa stratégie dans le haut de gamme. Et, il y a cinq ans, c'est chez l'un de nos géants tricolores que le groupe est venu débaucher son directeur général, Grégory Couillard, chargé du pôle joaillerie de LVMH... "Quand on a des prétentions en matière de luxe, la France reste incontestablement la référence", commente François Arpels, de la banque d'affaires Bryan Garnier & Co.

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  5. Les produits de luxe ont vu leurs prix grimper de 800 % entre 1976 et 2012, contre 300 % pour les autres biens de consommation

    Alors qu'on ne parle que de déclin de l'industrie française et d'érosion de ses parts de marché, l'insolente santé de nos fleurons nationaux du luxe reste presque cachée, secrète, comme indécente. "Pour une fois que l'on peut crier cocorico, il est étonnant que nos gouvernements successifs ne mettent pas davantage en avant la réussite du secteur", souligne Jacques Carles, président du Centre du luxe et de la création, un think tank spécialisé. Au royaume de l'égalitarisme, où le succès et la richesse paraissent toujours un peu suspects, les responsables politiques ont du mal à vanter les exploits des Dior, Chanel et Vuitton. Comme s'il était politiquement plus payant de tresser des lauriers à EADS qu'à Hermès.

    Ces trois dernières années, à contre-courant absolu de la crise, les maisons françaises ont pourtant fait exploser les compteurs : croissance des ventes à deux chiffres, performances boursières hors normes, rentabilité explosive... Nos marques tricolores, réservées à la bourgeoisie occidentale il y a vingt ans, déchaînent les passions en Asie, font vibrer les clientes les plus exigeantes de la planète, et s'exposent en quatre par trois dans les métros du monde entier. Louis Vuitton, la locomotive de LVMH, affiche une marge opérationnelle de 45 %, ce qui en fait, de loin, la griffe la plus rentable du monde. Yves Saint Laurent, pendant longtemps le mauvais élève du pôle luxe de PPR, a renoué avec la profitabilité depuis 2010. Et le très convoité Hermès est tellement prisé que l'entreprise accuse un an de retard sur ses carnets de commandes!

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  6. Nombre de particuliers aux revenus dépassant 1 million d'euros par an

    La fortune privée mondiale a augmenté de 7,8 % dans le monde en 2012, pour atteindre 135 500 milliards de dollars.






    La classe aisée chinoise (40 000 dollars annuels en moyenne) devrait compter 280 millions de personnes d'ici à 2020, contre 120 millions aujourd'hui. Elle assurera 35 % de la consommation mondiale, et 75 % de la croissance des achats de produits de luxe en Chine.





    Des enseignes bleu-blanc-rouge qui ont aussi réussi à pérenniser leur domination sur le monde : trois des cinq plus gros groupes mondiaux sont français. Et sept des quinze premières marques de renommée internationale battent pavillon tricolore. A elles seules, elles représentent 25 % du marché mondial du luxe pour les biens personnels (mode, accessoires, parfums, montres et bijoux), estimé à 212 milliards d'euros en 2012 par le cabinet Bain & Company. Des pépites qui comptent pour l'économie française.

    Les 75 maisons de luxe françaises regroupées au sein du comité Colbert emploient 38 000 personnes en France - un effectif en hausse de 10 % depuis 2006 -, auxquelles il faut ajouter près de 100 000 postes supplémentaires si l'on compte les emplois indirects. Leur chiffre d'affaires cumulé, réalisé pour 80 % à l'étranger, s'élève, quant à lui, à 31 milliards d'euros - plus 20 milliards d'euros si l'on y ajoute les activités haut de gamme du vin, de l'hôtellerie et de l'automobile. "Si on considère le luxe comme un secteur à part entière, ce que, curieusement, Bercy ne fait pas, on s'aperçoit qu'il est le premier secteur exportateur de la France", explique Emmanuel Combe, économiste et vice-président de l'Autorité de la concurrence. Selon ses calculs, le solde commercial du luxe serait de 20 à 30 milliards d'euros chaque année. Plus que l'aéronautique !

    Au palmarès des achats: berlines de rêve et voitures de sport

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  7. Le luxe, dans tous ses états


    Le luxe est un univers singulier qui a de tout temps suscité envie et désir chez les consommateurs. Pour Seth Goldin, un produit de luxe se reconnaît à sa sophistication, supérieure à ce qu’un usage simple de l’objet ne pourrait exiger, à son prix, plus élevé qu’il ne devrait l’être et à la symbolique, la mesure dans laquelle l’acquisition du dit produit de luxe est liée au message qu’il fait passer.

    Journal du Luxe décrypte chaque jour l’actualité de ce secteur moteur de l’économie, qui ne cesse de nous surprendre par ses prouesses techniques et artistiques. Focus sur le luxe, dans tous ses états.

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  8. Le Luxe, une valeur sûre depuis des générations

    Une sensibilité historique au beau et au prodigieux…



    Le luxe comme on l’entend aujourd’hui, trouve son origine dans les habitudes des anciennes familles de haut rang. Référant à l’exceptionnel, il est le symbole d’une réussite sociale accomplie mais également du raffinement et de l’amour du « beau ».

    Depuis la nuit des temps, tout objet ou matériaux faisant office de rareté s’accompagne d’une haute valeur monétaire et symbolique. Les Égyptiens étaient déjà sensibles à l’or et aux joyaux, qui permettaient une distinction entre les familles nobles et le peuple. Cette notion fut transmise de générations en générations et ce dans le monde entier, jusqu’à se placer au centre des débats philosophiques et religieux du XVIIe siècle. Si pour Voltaire le luxe est un moteur économique de premier ordre, pour Rousseau, c’est un obstacle à la vertu. Accusé de gaspillage, car trop lié à la notion de satisfaction sociale, le luxe parvient à conserver sa place sur le marché français et international.

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  9. Le luxe moderne comme moteur économique



    Le luxe à la française



    Par définition, le luxe tricolore allie tradition, savoir-faire et glamour. Il s’impose comme un moteur économique de premier ordre et atteste d’une santé irréprochable même en temps de crise.

    Cet essor, il l’a entamé au cours de la seconde moitié du XXe siècle. L’année 1980 marque en effet un tournant décisif dans l’histoire du luxe Français. Les petites maisons, indépendantes, se rassemblent alors en grands groupes économiques.

    Avec plus de 3 millions d’euros de chiffre d’affaires, Louis Vuitton (LVMH) s’impose comme le leader dans le domaine, suivi de près par Richemont et Kering (anciennement Pinault-Printemps-Redoute). Depuis lors, la France s’impose comme le premier pays dans l’univers du Luxe. Précurseur de nombreuses pratiques, les grandes maisons se sont forgées une solide réputation à l’étranger et permettent aujourd’hui de s’imposer à l’export avec 80% de leur chiffre d’affaires réalisé à l’international.

    Les produits de luxe français ont vu leurs prix augmenter de 800% entre 1979 et 2012, contre 300% pour les autres biens de consommation. Ces résultats à total contre courant ont fait explosé les chiffres des maisons de luxe françaises qui affichent une rentabilité insolente. Louis Vuitton affiche une marge opérationnelle de 45%, ce qui la place comme la marque de luxe la plus rentable sur le marché. De même, Hermès annonçait en 2013 un an de retard sur ses commandes en raison de son fort succès. Cette réussite française inégalable serait due à la culture française, qui s’attache à transmettre un savoir faire de génération en génération tout en recherchant toujours l’innovation. Ce sont ces clés de réussite qui font du luxe à la française un marché sans nuage depuis des années.

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  10. Journal du luxe du comte de la Fenouillime #journalduluxe #luxe #Fenouillime

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